Une rencontre inavoué. [PV Nasharys]

Rivros avait reçu un message des plus troublent, c'est battement d'aile était suivie d'une respiration calme et forte avec par foi quelque bruit de grondement. Qui avaient pu lui envoyer cette lettre, il se plongeas dans ses souvenirs cherchant le visage du dragon lui aillent donner ce boue de papier recouvert d'un froid particulier.
Aucun tête ne lui venais car il se souvins l'avoir trouver sur son lit dans une auberge mais le plus troublent était que cette personne connaissait son secret. Les mots écrie sur ce papier de glace le marqua et torturas son esprit.

"Retrouve moi dans au Pics Envoûtant, si tu ne viens pas tu devras répondre de ton vole a la reine Glacial. Je suis sur que vous et moi pouvons s’arranger."

Son vole... quelqu'un l'avais vu, cette nuit la je n'aurais jamais du voler cette objet ani... ce dit t-il sur un ton méprisant en vers lui même. Il ressorti de ses penser quand il fut arriver et se posa dans une grotte après avoir surmonter un grand souffle de glace dans le visage. C'est la seul grotte visible au loin, ce mystérieux dragon devais forcement s'attendre a se qu'il se pose ici.

Il l’attendis durant un temps...

Givre avait parcouru le Royaume de Glace du Nord au Sud et d'Est en Ouest, sans jamais dormir deux fois au même endroit. Depuis qu'elle s'était échappée de ce qu'elle qualifiait comme une prison du palais de la reine, elle était contrainte à vivre en solitaire et dans l'anonymat. Ce n'était pas tant ça qui la dérangeait cependant : mais depuis qu'elle avait quitté le palais, une grosse, très grosse prime planait sur sa tête, sujette d'une constante nervosité qui s'articulait et se désarticulait dans la poitrine de la dragonne.
Au moins, elle était le Souffle-Mort, le dragon des légendes qui remuaient la région, héros ou tyran, et n'importe qui tremblerait devant ce surnom. Il n'y avait que ce nom qui la rassurait et la protégeait depuis ces dernières années.
Elle était à la recherche d'un animus qui saurait ensorceler un objet qui lui permettrait de franchir les frontières sans avoir à craindre la chaleur, pour fuir la prime et enfin vivre décemment, ou presque. De préférence, un animus digne de confiance reclus dans un endroit abandonné.
Pas un animus du palais de Glaciale, ça, non.
Les moindre pièces qu'elle gagnait, elle les dépensait dans ce but. Mais au final, après ces trois années passées à chercher, elle n'avait pu récolter que des informations fausses, et le seul animus qu'elle avait pu trouver était un bâtard mi-aile de nuit mi-aile de glace déjà mort, consumé par son pouvoir.

C'est pourquoi elle avait repensé au prince des Ailes de Glace. Il avait LE foulard qu'il lui fallait.
Étant donné que, dans ses souvenirs, il le portait toujours sur lui et voyageait beaucoup, il devait être impossible de le trouver et de le lui voler.
De toute manière, il était voleur lui aussi, avait-elle pensé en affichant un sourire sournois tout en saisissant une peau propre et épaisse sur laquelle elle écrivit de la pointe de la griffe, s'appliquant avec la concentration d'un dragonnet sérieux :


Les lettres noires qu'elle traçaient gelaient au contact de la peau, donnant au texte un air plus menaçant encore.
Elle paya un messager pour qu'il remette la lettre au prince. Cela fit mal à ses économies, mais ça en valait la peine. À l'aube, celle-ci attendait patiemment sur un lit que le prince la lise.

Aussitôt, Givre se rendit au lieu du rendez-vous et se camoufla entre les rochers blancs sans bouger et attendit. Elle pouvait rester ainsi durant des jours.
"Ces mâles ont trop de fierté pour ignorer ça." pensa-t-elle.
Et elle ne fut pas déçue. Le soir approchant, elle distingua la silhouette du dragon qu'elle attendait.
Enfin, elle distinguait surtout le foulard qu'elle convoitait.

Le dragon resta statique quelques minutes.
Givre s'assura qu'il était venu seul, et glissa nonchalamment le long des pierres avant de se dresser modestement devant lui pour entamer un dialogue d'égal à égal.



demanda-t-elle, par convention.

Une dragonne se faufila devant lui avec une rapidité déconcertent, l'aire autour d'elle c'était refroidie t-elle un serpent remontant le long de la colonne du jeune prince. Cette impression n'était pas dessablage mais il ne fallait pas non plus croire quelle était douce et agréable ce froid était presque magique pensa t-il songeur.  
Son regard ne sembler pas agressif ni même effraient mais remplie d’assurance ce qui lui donner un aire énigmatique. Elle le regarda et lui dit:

"Bonjour, et merci d'être venu. Votre voyage s'est-il bien déroulé ?"

Il la regarda d'un regard froid et sans émotion, elle savais pourquoi il était la alors pourquoi tant de courtoisie ? Jouer t-elle la comédie... quelle sensation désagréable et répugnante a ses yeux, il retroussa sa babine droite non pas en signe d’agression mais de dégoût.
Puis pris la parole:

-Nous ne somme pas la pour faire de la mondanité garder cela pour vos supérieures.

Quelque chose en cette dragonne lui donner l'impression de déjà vu, comme si il lavais aperçue quelque heure au paravent. Ou aurais t-il pue voir une t-elle personne ? Il sembler garder la tête haute et le regard froid et doucement il enroula son écharpe autour de l'une de c'est pattes. C'est le cadeau que lui avez fait sa mère il ne voudrait pour rien au monde que quelque chose lui arrive.
C'est en enroulent l'écharpe qu'il remarqua, le froid autour d'elle, son apparence... elle devais être la dragonne née avec trop de glace en elle. C'est...

-Le Souffle-Mort, c'est donc toi.

Déclara le dragon avec une froideur qui s'accommodait parfaitement à l'ambiance que Givre apportait.
Cela l'agaça sur le moment, mais après tout, s'il ne voulait pas lui rendre la politesse, elle avait une excuse d'être irritable.


Fit-il, acide.

La dragonne s'assit, droite et fière.


Pour la nature de la situation, la dragonne se montrait relativement polie et professionnelle, voire même aimable. C'était dans sa nature, d'être gentille et pure. Mais comme toutes les roses, elle cachait bien des épines.

Elle sourit sincèrement et tendit une patte presque amicale, attendant un retour de la part du prince, resté muet jusqu'à présent.

Rivros écouta les belle parole de la dragonne qui lui remonter dans le museaux t-elle un souffle de feu, il la regarda longuement fessant mine de réfléchir mais la dragonne sembler ne pas avoir bien vu ce qu'il avait volé et cela était bien mieux pour lui d'autre chose, un objet animusé volé à la reine reviendrait a tenter de s'attaquer a elle. La dragonne avait prévu de le tuer mais il à la possibilité de fuir asse loin pour trouver un garde même si il finirais blesser... Rivros calcula un grand nombre de possibilité puis dit:

Comprenez moi,donner un objet animusé reviendrais a me demander de perdre tout mes cercles et ma place au sien des ailes de glace. De plus la seul solution serais de me tuer car comme vous l'avez dit seul vous pouvez confirmer le faite que j'ai pris un objet dans la chambre de la reine, de plus vous ete une rechercher alors comment témoignerez vous ?
Je pense être dans mon droit de refuser et voir même en supériorité face a vous.

Un sourire fit place sur la gueule de l'aile de glace, un sourire mauvais. Rivros la regarda puis lui tourna autour.

Mais vous avez raison, nous pouvons nous arrangez. Vous ete après tout réputé pour le meurtre non ?
Si vous tuer quelqu'un pour moi je suis sur de faire un acte de ... Hrm... de bonté et vous donner mon écharpe.

Le regard de l'aile de glace était maintenant semblable a un serpent sournois.

Givre posa la patte à terre. Elle n'avait pas prévu ça.

Le contre-marché qu'il lui proposa anima en elle une fureur indignée, qui se trahit par le balancement léger de sa queue. Ses épines dorsales frémirent, et du gel commença à serpenter de ses naseaux. Elle s'apprêtait à répondre à coup de crocs, mais elle se ravisa et balaya toute forme de rage en un sifflement. Les Ailes de Glace devaient tous être les mêmes : ils cherchaient tous à se débarrasser d'un des leurs pour éviter une gène dans leurs activités politiques ou commerciales. Surtout que, celui-là, il avait le pouvoir de faire exécuter n'importe qui rien qu'en demandant à sa mère, alors il n'avait pas besoin de ses services, à moins qu'il s'agisse d'une personne très particulière.
Et dire qu'il ne lui fallait même pas une seconde pour clore la conversation.
D'un autre côté, si elle le tuait, il lui aurait fallu cacher le corps. le jeter dans la mer aurait été trop risqué (un glaçon, ça flotte.) et sur terre, n'importe qui pouvait le trouver.

Elle réfléchit intensément. La façon dont le prince roulait des épaules en autour d'elle l'agaçait vraiment. Elle avait bien envie de lui trancher accidentellement un tibia ou deux avec sa queue.
A priori, il se fichait bien de savoir que quelqu'un mourrait atrocement quelque part où personne n'irait le chercher. Peut-être ne savait-il même pas ce que c'était d'être seul et de mourir.
Mais après tout, c'était sa seule chance de sortir de ce maudit endroit. De vivre la vie qu'elle rêvait, d'explorer les contrées lointaines de rencontrer les races de dragons qu'elle n'avait jamais vu.
Ces dernières pensées achevèrent son choix. Elle prit part à l'atroce pour toucher son rêve. Était-ce excusable d'éliminer une vie pour réaliser ses rêves de paix et de prospérité ?
Après cette longue minute de réflexion, elle répondit enfin avec simplicité, yeux clos, lèvres pincées :

Givros fit un large sourire et dit le nom de sa sœur, puis regarda la dragonne de façon contant. Une émotion sans doute rare cher un aile de glace.

Mais dite moi sans plus, vous avez un plant en tête ?


(Désoler pas trop d'idée sur le coup...)

(Un nom pour la soeur ??)
Bien entendu. Quelqu'un de sa famille en plus. Peut-être que cet aile de glace était plus effroyable que les autres. Enfin, c'était naturel dans les familles royales... Les reines se détrônaient bien de cette façon...
Mais, avait-il l'intention de renverser sa reine pour devenir roi ? C'était étrange... Curieuse, la dragonne demanda :

Il renfrogna un bruie de mécontentement au mots de la dragonne. Comment pouvais t-elle pauser cette question, voulais t-elle vraiment son écharpe ?

Tu n'a pas bien compris ? Si tu veux l'écharpe ne pause pas de question et si cela te dévore vraiment l’esprit et bien passe ton chemin alors.

Il la regard d'un regard froid qui voulais tout dire, sois elle le suivait sans dire mots sois elle devrait faire face a lui maintenant ou oublier l'écharpe.

Givre laissa échapper un soupir.


Si elle tenait vraiment à sortir de ces terres, elle devait lui obéir à la griffe et à l'oeil. Sinon, c'était raté.
La dragonne se tint plus droite, et demanda au prince :


(je te propose qu'à un moment, Givros tende une embuscade à Givre pour la ramener au palais de glace et fanfaronner devant sa maman chérie n.n dans les circonstances que tu veux. Mais à la fin du rp, s'il peut lui donner don écharpe ça serait bien. Avec une légère amitié nouée que les deux dragons n'assumeraient pas.)

Il la regarda et lui dit:

Je te donne rendez vous dans les hurlantes, je sais que cela ressemble a puis mais comme cela elle ne pourras pas t’échapper.Tu devras être la demain-midi heure tapante.

Il la regarda froidement puis partie dans les haires, Givros avez déjà trop donner de son temps et il pensa a quelque chose. Il rentras dans son palais et attendis gentiment que le soleil se lève, a midi son plant auras lieux. A midi sa mère sera fière de lui.

(Lol si on lit bien chacun de tes posts on trouvera quelque chose de semblable à "Il la regarda froidement" voilà anecdote que j'ai pu remarqué jusque là hihi)

Givre ne dit pas un mot de plus, et hocha seulement la tête. Avant que le mâle n'aie tourné les talons le premier, elle s'envola avec légèreté et disparut aussitôt dans la brume, laissant derrière elle un nuage de flocons qui se déposèrent doucement au sol, comme des plumes.
Haut dans le ciel, en quête d'une tanière où s'abriter pour la nuit, elle songeait.
Assassiner une princesse ? Pour quoi ? Une écharpe bleue ? Oh, mais pas que...
Pour la liberté. Pour son rêve de paix, et de prospérité.
Mais au fond...
La conscience de la dragonne s'agitait furieusement.
Bien sûr, que tuer, c'était mal, et elle pouvait tout autant ne pas venir le lendemain et éviter ainsi une telle tragédie... Mais ses jours étaient comptés, à elle aussi, elle savait qu'elle n'aurait pas toujours la chance d'échapper aux gardes et aux avis de recherche. Surtout quand la valeur se sa tête (bien entendu séparée de son corps) était un tas d'or qui ne logeait sûrement pas dans une simple bourse, et qu'un cercle était décerné au dragon qui rapporterai cette tête.
Mais qui souffrait le plus dans l'histoire ? La princesse, ou la dragonne ? À sa connaissance, une exécution était beaucoup plus douloureuse et humiliante qu'un coma soudain et sans réveil, infligé par un presque légendaire aile de glace.
Et puis, la princesse se serait bien fichue que la mort l'épargne, elle aurait continué à vivre sa vie de luxe sans reconnaissance envers celle qui l'aura laissée vivre. Pour Givre, sa mort apportait bien plus que sa vie.
"Après tout, c'est sa vie, ou la mienne." songea la dragonne tout en ajustant son masque.

Elle faisait la distinction entre le bien et le mal.
Mais qui disait qu'elle choisirait une voie aussi exemplaire qu'immaculée ? Ses écailles l'étaient peut-être, mais elle n'était pas toute blanche.
De toute manière, ses pattes étaient déjà couvertes de sang depuis bien longtemps. Une goutte de plus n'y changerait rien. Princesse ou pas.

La dragonne se posa, sculpté dans la glace. La nuit engloutissait le ciel et le brouillard s'était épaissi.
Elle fit l'inventaire de toutes ses affaires (armures, armes, poisons, provisions, quelques herbes fanées pour soigner d'éventuelles blessures, papier et encre,...) avant de s'assoupir profondément, dans un sommeil nerveux et agité.

Au petit matin, la brume ne s'était toujours pas levée. Peut-être anticipait-elle ce qui allait se produire..? Confiante, Givre aiguisa toutes ses lames, enfila ses griffes de combat et quelques autres accessoires pour tout type de situation périlleuse. Elle regarda son reflet sur la glace déformée. Elle se serait presque trouvée belle, si ces années de voyage, de peur et de haine n'avaient pas terni ses écailles. Elle resserra plusieurs fois son masque, qu'elle ne quittait jamais, même pour dormir. Il protégeait toute son identité.
Fin prête, elle s'envola vers les Hurlantes alors que le soleil était à son zénith. Le silence dans lequel était plongé le paysage semblait lui jeter des ombres sur le visage. Chaque battement d'aile la rendait plus nerveuse. Cela ne se passait jamais de cette façon... Elle était toujours d'une sérénité inébranlable dans ces situations. Était-ce l'effet de l'importance de cette mission ? Peut-être.

Un peu de neige virevoltait en silence, sous le ciel si blanc, mais si sombre pourtant, quand la dragonne aperçut sa cible, statique au milieu d'une impasse. Elle la reconnut grâce à de nombreuses parures et ornements. L'assassine se dit que le prince avait du procéder de la même façon qu'elle pour qu'elle vienne seule ; en lui envoyant une lettre.
"Un crime trop parfait.." se murmura-t-elle. Néanmoins elle ne se méfia pas et entama une descente verticale silencieuse vers sa proie...

(Est-ce que je la tue ou pas ? Telle est la question)

Givros sortie de de sa chambre et accourue alors que le soleil n'était même pas encore levais. Il arrivas dans la salle du trône avec un grand sourire et dit a sa mère:

Cher mère j'ai besoin de ma soeur et d'une grand nombre de solda pour vous offrir un cadeaux, cela sera pour vous le témoignage de ma ferveur.

Il attendis gentiment les mots de sa mère, qui a sa grande surprise lui fit confiance, elle lui donnas les troupe royale après tout si il prenait la princesse avec lui aucune chance quelle tante de la défier.

Les garde royale suivie le plant de l'astucieux et orgueilleux aile de glace, il les traitas comme des sous-fifre sans valeur qu'on pouvais sacrifier en vin. Les soldas pris par au plant et s'envola pour former une embuscade a la dragonne que Givros avez fait en sorte d'avoir manipuler, seul son propre être était important a ses yeux et il avait la possibilité de pouvoir gagner un rand.
"Penser t'elle vraiment que j'aller l'aider... qu'elle aile de glace débile."

Durant le voyage la princesse sembler un peux inquiète, son frère la regarda de ses yeux de glace et fit un petit sourire.

Ne t'en fait pas tu n'auras qu'a être dans un endroit et attendre.

La princesse lança un regard sombre a son frère et partie vers les gardes, elle avez raison de ne pas lui faire confiance, aurais t-il dans son plant le faite de laisser tuer la princesse et capturais la sois disante légende ? Non il perdrait bien plus en contre partie. Il remarqua enfin que le jours se levais, les soldas en place n’attendait plus que la cible.

Le froid semble se levais, des bourrasque tourbillonnante de neige fouettait le visage de Givros. Son regard porter sur sa sœur était froid voir même répugnant.

Comme une charogne guettant sa proie, il l'attendait.

"Elle n'est toujours pas arriver..."

Les ailes plaquées contre le corps, Givre fondit sur la dragonne. Elle découvrit corcs, gencives, langue et d'un coup, le souffle frigorifique jaillit de sa gueule avec la violence d'un esprit furieux, se répandant en un brouillard mystique brillant qui se dissipa presque aussitôt et glaçant d'avantage le sol sur son passage.

Doucement, la dite Souffle-Mort se posa sur la neige prête à attendre Givros pour obtenir la récompense qu'elle méritait. Elle se tint face à la statue de glace bleutée qu'était devenue la malheureuse. On pouvait distinguer son expression de terreur sur son visage ; ses mâchoires étaient grandes ouvertes et elle plissait affreusement les yeux. La glace l'avait figée dans une position de défense : elle gardait une patte avant devant sa tête comme pour se protéger.

Givre s'attarda sur ce visage. Elle avait quand même des remords, même si elle pensait avoir fait ce qui lui semblait le mieux pour elle. Ça ne lui faisait jamais plaisir de tuer quelqu'un. Mais qui aimait réellement tuer à part les fous ? On pouvait aimer se battre... Mais aimer tuer, c'était la pire cruauté qui soit.
Elle fut interrompue par des bruissement d'aile rapides et des murmures. Cela venait de partout. Prise de panique, la dragonne se tourna et se retourna sur elle-même pour voir où se trouvaient les ennemis et sentit un violent choc sur le haut de son crâne. Qu'est-ce que...? Elle grogna et tenta d'ouvrir la gueule pour se débarasser de ses assaillants, mais elle se rendit compte que quelque chose la bloquait. U...Une muselière ? Le dragon qu'il la lui avait enfilée n'en mis pas qu'une. Il lesta son museaux de plusieurs lanières de cuir, puis lui fit enfiler une sorte de masque en métal qu'il renforça avec des chaînes et des verrous. Givre tenta de se débattre, mais elle était coincée au sol, écrasée sous la masse de plusieurs dragons. Elle était assez grande forte, mais pas assez pour se libérer de leur emprise. Elle jeta des regards autour d'elle - du moins, là où elle pouvait regarder, guettant cette saleté d'Aile de Glace qui l'avait trahie.

Givre fut menée de force à faire le long voyage. La muselière lui donnait du mal à respirer. Elle était en chaînée de la tête à la queue comme une bête sauvage. Comment des individus auraient-ils pu traîter les leurs ainsi ? La raison semblait évidente : ces Ailes de Glace ne la considérait pas des leurs. Ou alors ils étaient la pire espèce de dragons de tout Pyrrhia.
Ça, c'était même une vérité.
De grosses larmes vinrent geler les yeux de la malheureuse dragonne. Il fallait bien que cela arrive un jour non ? Elle ne pouvait pas échapper éternellement à son destin. Elle était soumise à la fatalité de son existence et ne pouvait pas contrebalancer ce poids. Pas seule.
Le voyage fut très désagréable. Elle avait perdu quelques écailles tant ses entraves frottaient et se coinçaient entre. Les soldats volaient en V, Givros en tête, et Givre s'y tenait au milieu, entourée par les dragons qui faisait bien attention à rester bien loin d'elle. Il ont plutôt intérêt... pensa-t-elle avec la rage du désespoir.
Au bout d'un interminable moment, ils aperçurent les reliefs brutaux et piquants du Palais des Glaces. Son heure avait sonné... Demain à l'aube, elle serait morte, et sa tête ornerait le trône de la reine Glaciale.
Givre se demanda alors ce qu'il allait advenir de la princesse... La perversion du Prince avait-elle seulement une limite ? N'avait-il seulement aucun honneur ? Faisait-il cela pour sa reine ou pour lui-même ? Givre l'aurait bien défié en combat singulier, tout bien tout honneur. Elle ne rêvait plus maintenant que de lui trancher la gorge une bonne fois pour toute. Et dire qu'elle en avait eu l'occasion... Même morte, elle le maudirait à jamais.

Le soldat qui se tenait à la droite du prince se risqua à lui demander :

Givre fut malmenée jusqu'aux fins fonds du palais de glace, dans geôles les plus sécurisées. On la traînait à travers les couloirs bleus et lisse des sous-sols, tout en lui proférant des injures et en lui ordonnant d'avancer plus vite.
Ça les amusaient, hein ?
La malheureuse dragonne s'attarda devant une paroi de glace dans laquelle elle pouvait distinguer son reflet à la lueur des torches givrées. Elle avait l'air misérable, sa maigreur accentuaient le relief de ses os, comme si ses côtes étaient mises à nu. Ses entraves lui avaient arraché des écailles et du sang séché s'infiltrait entre. Elle se voyait en bien piteux état.
On tira sur ses chaînes pour la forcer à avancer. Elle ne se débattit pas et suivit tant bien que mal.
Les gardes la conduisirent dans un cachot sombre, large et haut, où une bouche d'aération était la seule source de lumière qui pouvait y pénétrer. Le même vieux cachot où elle avait été enfermé pendant des années.
Retour au point de départ ; et probablement sa dernière demeure.
Les soldats utilisèrent un trousseau entier de clés pour ouvrir un nombre incalculable de serrures permettant d'accéder à la pièce, puis jetèrent Givre en prenant soin de refermer le moindre loquet.
Cette dernière se laissa tomber, au sol, inerte, comme déjà morte, écrasée par l'épuisement. Elle s'endormit presque aussitôt, avec la peur que ce sommeil soit son dernier.

lorsqu'elle se réveilla, il faisait nuit noire. Elle se releva difficilement et tendit le cou vers les barreaux du cachot qui offrait une ombre quadrillée sur le sol.
Un jeune garde se tenait devant, scrutant l'intérieur avec un mélange d'effroi et de curiosité.

Encore convalescente, Givre tenta de se débarrasser ses entraves, mais ne réussit à arracher que quelques entraves. Quoique... Elle avait réussi à casser les plus gros verrous... Elle tenta alors rageusement d'ouvrir la gueule, secouant sa tête de droite à gauche dans un mouvement de recul, tout en essayant de tordre les plaques de fer avec ses griffes, et parvint à retirer le gros du casque, dont il ne restait plus qu'une muselière assez serrée, complètement gelée. Mais malgré ses efforts, elle ne réussit qu'à arracher son propre masque et se faire saigner des naseaux, et lui demeurait fermement agrippé à son museau.
Le jeune garde regardait avec fascination les débattements de la dragonne contre son armure.
Givre avait noté que le jeune garde la regardait de façon incessante. Du fond de la pièce, elle dirigea son regard et le planta dans le sien, ses iris émettant une lumière blanche bleuâtre qui perçait dans le noir. Le garde fit un pas en arrière, l'air horrifié.
Givre gronda en s'approchant des grilles qu'elle agrippa fermement de ses deux mains, dont la magie glacée ruisselaient le long des barreaux dans un son de cristal et se répandait tout autour.
Elle appuya son front contre le grillage ses yeux rivés sur le garde de l'autre côté.
Entre ses entraves, elle parvint à bouger les lèvres et sa voix rauque, presque inaudible s'éveilla.


Mais le jeune garde resta stoïque, secouant la tête pour dire qu'il ne devait pas répondre, comme si ces mots cherchaient à le corrompre.


murmura-t-elle, pour elle même, attendant son sort.

Givros n'arrivais plus a dormir, il n'avais même pas fermer l’œil de la nuit. Toute cette histoire remis tout en doute. Son cœur lui faisait mal, et sa seul penser fut de dire pardon a Givre. Pourquoi tout cela lui arrive ... depuis quand était il devenue comme cela. A quelle moment avait t-il abandonner tout espoirs dans ce palais glaciale. Regardent son écharpe il ne pouvais s’empêcher d'imaginer ce qu'il aller arriver demain ... sa mère ne la voulais même plus dans son entourage.

Fronçant les yeux un mot lui vin dans son esprits sans cesse "Liberté" ce mot commencer a le rendre fout et décida d'écouter ce qu'il ressentait.

Dans l'obscurité de la nuit il bondit de sa fenêtre et partie en direction des geôles, il s’enfonça au plus profond des salles les l’entraine briller doucement éclairent que peut le chemin. Arriver au boue il remarqua un garde, se cachant dans le tournant il prépara son plant.

-Hey ! Viens ici idiot tu a encore oublier une clef au sole !

Il attendue que le jeun garda arriva en courant pour finalement tomber sur un coups de queue qui le mi dans des rêves profonds.

-Je suis désolé si a cause de moi il t'arrive quelque chose mais je suis obliger.

Aussitôt il arriva devant la cage de l'aile de glace, elle était mal en point. Son apparence semi squelettique la rendait bien plus monstrueuse quelle ne l'était. Son cœur aller exploser, il avais du mal a parler. Après tout c'est lui qui lui avait fait cela mais m’intentant tout sera fini.

-Je...je sais que tu doit me détester et que tu ne me fait plus confiance mais... je...je te doit cela. Je m'excuse du mal qu'il t’arrive maintenant...

Il avais du mal son visage était tordue et n'avez aucun émotion précise il sembler qu'il avais tant d’émotion mais sans les connaitre ou les contrôlés Givros tandis l'écharpe et la pausa a traver les barre espérant quelle ne l'attaque pas.

On appela le jeune garde de l'autre bout du couloir. Dans le même instant, un grand coup retentit, ainsi qu'un bruit de chute.
Givre eut un haut le coeur en voyant le visage son exécuteur, son bourreau. Ce traître, elle le maudissait du plus profond de son être. Les Ailes de Glace avaient beau être naturellement les pires, mais celui-ci devait visiblement être le pire.
Pourtant, à sa grande surprise, celui-ci dénoua son foulard avant de le glisser prudemment à travers les barreaux gelés.


Il s'excusait ? Lui ? Vraiment ?
Il était sacrément gonflé. Vibrante de colère, Givre serra davantage les barreaux entre ses griffes noires et lustrées. Une vague de gel s'en découla, ruisselant dans diverses directions et léchant presque les pattes de Givros.
La dragonne émit un grondement guttural tout en se faisant immense derrière la grille, le regard aussi perçant qu'une dague en plein coeur.

Il ne tressaille pas au mots de la dragonne ni même a son mort qui lui morder les boues des pattes crée une douleur aiguë.

-Non, ma sœur n'est pas morte ... j'ai entendue dire par des gardes que ma mère aller utiliser un objet animusé pour la ramenée. De plus je ne fait que tenter de te redonner ce que je tes pris sois déjà heureuse que je souhaite te relâcher souffle mort. C'est vrais je ne le fait pas pour toi ... mais pour tout ceux qui son comme toi. Je te donne une chance de partir avec l'écharpe alors laisse moi au moins faire ce que me semble pour une foi juste. Je me suis déjà perdue alors je suis déjà mort aujourd'hui, si tu le souhaite tu pourras me tuer une foi libre de ta prison.

Il pris les clefs sur le corps endormie du garde et ouvrit la grille puis commença a détacher tout les liens de Givre. A certain moment le froid lui faisait mal, mais il n’écoutait pas la douleur et continuer d'ouvrir les verrous puis, il se recula aussitôt et se plaqua contre l'une des parois pour éviter de toucher la dragonne par mes garde, la patte tendue vers elle contenant toujours l'écharpe.

La dragonne baissa la tête et détourna les yeux le temps d'une réflexion. Qu'est-ce qui l'empêchait de ne pas la trahir une nouvelle fois ? Cependant, elle avait encore une chance inouïe, alors, autant la saisir. Au pire, elle mourrait de toute manière. Elle s'ébroua et s'empara de son masque, le lestant fermement à son visage.


Dit-elle en s'emparant du foulard bleu qui, pour sa plus grande fascination, ne se rigidifia même pas au contact de ses griffes.


Givre était encore en colère contre lui. Une rage bouillonnante. C'était peu naturel pour une personne comme elle, qui prônait la miséricorde. Mais lui, à moins qu'il le lui prouve par ne serait-ce qu'une larme, elle le damnerait jusqu'à la fin.

PS:

Givros s'empressa aussitôt de partir vers la fin du couloir, il pris l'une des petite lanterne sur le murs dont émaner une lumière tamiser.

-Viens, nous allons passez part le haut. Si l'on me vois, fait en sorte que toi non. Je pourrais toujours justifier ma présence, par contre toi m’accompagnant ... ce sera plus dure.

Il emboita le pas en direction d'une des tours du palais qui pointe vers l'est, un endroit asse stratégique pour une fuite vers le royaume des ailes du ciel. Mais avent cela il devait passer la zone de garde du entre la tour et le secteur des prisons.

-Bien, quand on entend un bruit de pas groupé tu ta cache, je ferais en sorte de dégager le chemins.

Les deux Ailes de Glaces traversèrent de longs couloirs tantôt larges, tantôt étroits. Givre s'alertait au moindre bruit et rasait les murs. Difficile de rester discret, à cause de tous ces pics qui lui hérissait le corps, mais elle avait l'habitude, depuis ces quatre dernières années.
Hors, elle savait que même en empruntant le chemin le plus farfelu qui puisse exister, en passant par des bouches d'égout ou des couloirs complètement oubliés de tous, ils devraient traverser un hall où de nombreux garde s'entraînaient contre des mannequins, buvaient, mangeaient, ou jouaient aux cartes et aux dés. (et à la pétanque.) C'était dans ce hall qu'un autre corridor menait à un escalier que Givre savait en colimaçon, relativement étroit et qui s'élevait très haut. Il faisait office de mirador ou même de phare guidant les voyageurs sur une terrasse supérieure du palais, semblable à une aire de décollage ou d'atterrissage pour des escadrons entiers de dragons.
Givre se souvenait de cet endroit. Elle était passée par là pour s'enfuir la première fois. Elle avait vu le ciel pâlir, resplendissant, et les étoiles qui lui murmurait l'espoir. Et à chacun de ses pas maintenant, cet espoir renaissait.
Approchant du hall de garde, la dragonne retint Givros par la queue.


Chuchota-t-elle à l'adresse du prince Aile de Glace.

(Désolée pour le retard, j'ai fait quelques détours depuiq mon dernier passages sur le forums n.n')